Dénichez instantanément le restaurant Paris qui correspond à votre envie du moment : une terrasse animée dans le 8ème, un vieux bistrot dans son jus, un restaurant chic et branché ou le calme d'un jardin en plein cœur de la capitale...
Après le succès de l'Emporio Armani Caffè, Massimo Mori donne naissance au Mori Venice Bar en octobre 2005 dans le 2ème arrondissement. Fin connaisseur des produits de sa région, il vous propose des préparations exclusives, résolument vénitiennes, et une carte des vins époustouflante. Un contraste épatant pour cette cuisine italienne entre une cuisine traditionnelle, subtile et raffinée, et une décoration glamour et baroque signée Stark.
« L'enthousiasme de Massimo Mori, le génie de Philippe Starck, et voilà la gondole du Mori Venice Bar glissant, conquérante, vers la place de la Bourse et le restaurant italien le plus élégant de Paris. Massimo Mori, chantre talentueux de la cuisine italienne, des spécialités de la Sérénissime, conservateur de recettes anciennes, fou des produits du terroir, vient d'offrir une vie de palais à son ambassade vénitienne.
Porte d'entrée déplacée ; bar lumineux de Philippe Starck en verre épais soufflé de Murano ; table ronde en marqueterie à thème musical de Fornasetti ; époustouflant lustre animalier en murano d'Aristide Najean aux pièces interchangeables suivant les saisons ; hauts miroirs lumineux en verre gravé…
Fier de sa réalisation, Philippe Starck n'en finit plus aujourd'hui de s'autoproclamer Vénitien.,.
Le pétillant Massimo Mori vient de réaliser un bel essai vite transformé. Son coin bar où l'on peut grignoter, sa table éclairée du fameux lustre ont donné un coup d'élégance à l'endroit. Le reste de la salle s'en trouve embelli et égayé. Les jolies Parisiennes adorent. Ça et là des masques de carnaval, gigantesques. Et toujours les petites banquettes, les coins et les recoins, dans cette salle incurvée de 200 mètres carrés. Le Mori Venice Bar est maintenant ouvert sept jours sur sept Les samedi et dimanche midi, menu à 50 euros tout compris : apéritif, vin, café. Ce qui permet de tester ce lieu où les prix ne sont pas tendres.
Le restaurant de Massimo n'a rien à voir avec les autres italiens de Paris. Ici, la cuisine est véritablement du pays. Plats du marché : tartare de veau truffe blanche dAlba ; recette ancestrale d'oie confite de Trévise au riz rouge d’Abbadesse, pignons de pins et raisins. Plats de saison : poêlée de cèpes ; aigre-doux d'oie ; polenta crémeuse de Blave de Morteau. Carte qui n'en finit pas : pâtes artisanales trofie à la crème de citron, caviar de Venise ; boule fraîche de mozarella de bufflonne (250 g) ; velouté de tomates cerises, bruschetta, huile d'olive extra-vierge biancolilla ; carpaccio de bar, artichauts crus ; poêlée de petits poulpes de l’Adriatique, etc. Les desserts : fruits givrés, panacotta crêpes flambées et, surtout, le chariot de glaces turbinées à la minute. Grandes bouteilles italiennes et vin au verre. Le soir, un lieu magique... »
« Comprenez un lieu, deux modes d'emploi. Grande toque officiant au-dessus d'une brasserie, bar planqué sous un gastronomique, menu du jour et suggestions de nuit… Zoom sur des adresses qui s'amusent à brouiller les cartes, pour mieux épouser nos envies.
Version restaurant. Pour beaucoup, c'est la meilleure table transalpine - vénitienne plus précisément - de Paris. Tout juste relifté aux bons soins de Philippe Starck, le décor a gagné en élégance et perdu en raideur, tandis que les assiettes sont toujours impressionnantes de précision et de gourmandise. Le risotto Carnia aux artichauts violets et ricotta fumée est un puits de tendresse et les linguines alle vongole parmi les meilleurs que l'on ait goûtés.
Version bar à cicchetti. Depuis cet été, on s'installe au bar du restaurant, et on commande des cicchetti, comme dans les bacari vénitiens, le confort en plus, le tapage en moins. De petites portions que l'on accompagne d'ombra, un verre de vin rouge ou blanc. Ici le cicchetto est livré dans sa version authentique mais stylée : jambon de cochon noir et girolles, sarde in saor (sardines aigre-doux), carpaccio d'espadon et pamplemousse, petites seiches à l'encre et polenta. Savoureux, précis et parfaitement raisonnable (5 € la portion), à condition de ne pas avoir une faim de loup. »
« Clin d œil à la Bourse située en face le Mon Venice Bar propose un menu CAC 40 dont le prix varie selon le cours du célèbre indice Une offre conçue pour redonner le moral aux traders puisqu'il ne tient compte que des variations à la baisse. Ce restaurant est - à notre avis - un des meilleurs « italiens » de Paris. Au menu des spécialités vénitiennes comme la salade de poulpe olives noires et pommes de terre l’araignée de mer décortiquée à la vénitienne ou encore le bar entier aux parfums de citron et cardamome cuit dans sa carapace de mousse de sel C'est aussi l’occasion de découvrir un nouveau lieu puisque la décoration du Mon Venice Bar a été entièrement refaite durant I’été par Philippe Starck. ll propose ainsi une superbe terrasse couverte et un bar en verre souffle ou l’on peut déguster des Cicchetti (petits plats) vénitiens Menu CAC 40 Entrée plat et dessert pour un prix de base de 40 € au déjeuner en semaine. »
« D'ici la prochaine escapade à Venise, la carte du Mori Venice Beach peut donner un avant-goût du voyage. Les plus romantiques seront réduits par son alcôve aux faux airs de salon privé, pour un dîner en tête-à-tête sous un lustre en verre de Murano. L'endroit n'est pas totalement clos, mais un paravent ou des compositions florales peuvent le rendre plus intime Cet espace peut être aménagé sur demande, comme celle d'un célèbre animateur télé qui avait souhaité que les lieux soient tapissés de coussins, et qu'une pluie de strass orne le lustre, pour faire une surprise à son épouse durant la célébration du carnaval... Côté carte : Cuisine vénitienne avec les produits emblématiques de cette région. »